mardi 13 janvier 2009

Histoire d'une péripatéticienne

Comme chaque jour que dieu fait elle se levait avec sa gueule de bois chronique dû a la beuverie de chaque soir , après le réveil donc elle allait prendre sa douche quotidienne elle frottait frénétiquement et jusqu'au sang son corps pour enlever cette immondice qui collait a sa peau. Apres la douche elle s'habillait d'une belle robe couleur pourpre avec aux pieds des talons aiguille hautement assorti , ensuite vient le tour du maquillage elle se mettait devant la glace passait sa main sur ce visage endommager par les longues nuits de "travail" de souleries et de débauche a tout va , elle essayait tant bien que mal de cacher les stigmates qui parcouraient son faciesse enfin et avant de sortir elle se parfumait et se dirigeait a son "QG"

Chaque jour que dieu fait elle prenait un taxi qui la déposait prés de la rue zar9oun, hormis les barbues tous les autres commerçants la connaissait et la saluait avec des salamou 3alaykom a tout va , sans doute espéraient ils une passe gratuite mais pauvres cons qu'ils étaient elle n'était pas dupe. A quelques pas de la dite rue zar9oun on trouve la rue de "Sidi abdallah Gich" voila elle est arriver a son "siege sociale". La chambre numéro 5 c'était la ou elle satisfaisait les besoins de pervers , de coincés, d'ados en quête de relations charnelles , tout était machinale les clients passaient les uns apres les autres faisaient leur sale petite besogne puis s'en allaient sans meme la regarder ni meme lui parler elle était juste une chose ou ils y fourraient leur phallus et cela pesait sur sa conscience elle se sentait comme une moins que rien si c'était pas le besoin qui l'avait pousser a lever ses jambes sans doute elle l'aurait pas fait mais hélas la réalité et tout autre , elle disait a son unique ami un pédéraste qui travaillait lui aussi dans ce bordel : " pourquoi ai je choisie le fric au dépend de ma dignité" le sodomite la comprenait pas car pour lui il a joint l'utile a l'agréable.


De jour en jour elle sombrait de plus en plus dans sa déprime elle voulait s'en sortir mais elle savait qu'une salope restait salope quoi qu'elle fasse quoi qu'elle dise la société a juste titre ou pas n'a pas de pitié elle te juge et basta elle cherche pas des explications elle s'arrête sur les faits


Notre péripatéticienne comme chaque jour que dieu fait se levait mais cette fois si il n'y a point de douche ni de maquillage ni de taxi pour elle la messe est dite elle voulait en finir avec cette vie pathétique et indigne "la solution" qu'elle avait trouvé une corde bien nouée dans une poutre dans un coin de sa maison pour rejoindre espérons pour elle un monde bien meilleur .

Aux armes martyres

Peres, mères, femmes et enfants
Sous les bombes assassines
Point d’espoir, point de survivants
Vos ‘frères’ dirigeants ont baissé leurs pantalons
Sodomites ils le sont
Pénétrer par le sioniste tyran
Aux armes martyres
la paix il n'en est plus question
Oeil pour oeil , dent pour dent
Dixit la loi du talion
Aux armes martyres
Aux armes citoyens
La victoire se fait sentir
Vous battrez ces maudits chiens
Aux armes martyres
Dieu vous entend
Aux armes martyrs
L’Eden vous attend
Je vous ai offert mon sang
Bien que j’aurais voulu
Etre au front

Lettre posthume d’un Nazi




Berlin 1945


‘ Enrouler de force dans l’armée allemande dés l’âge de 14 ans, ma tendre enfance m`était voler, a l’âge ou on découvrait la vie, ou on découvrait l’amour, j’ai découvert la haine la violence et la mort. Je me sens coupable, oui coupable d’avoir écouté les ordres d’un guide qui a amener son pays a la déchéance total, il a voulu créer un empire a la gloire de la dite race aryenne mais le résultat est tout autre, a l’heure ou j’écris ces quelques lignes notre nation croule sous les bombardements ennemis, notre armée jadis omnipotente est a cet instant l’ombre
d’elle-même

Nous avons payé cher la dévotion a un fou furieux, regarde ou sommes nous arriver c’est plus l’Allemagne c’est l’enfer sur terre. Nous avons payé le prix aussi des exécutions des camps de concentration des millions de morts gazé, fusillé, enterré dans des fausses communes car ils étaient soit disons des êtres inférieur, moi-même j’ai participé a ces meurtres, j’ai tué et violé sans raisons valable, l’endoctrinement m’a enlever le moindre sentiment de compassion, les victimes avaient beau criée miséricorde mais rien ni fait j’accomplissais ma mission vaille que vaille.

Qui sème le vent, récolte la tempête, nous avons mérité ce qui nous arrives notre allégeance aveugle au führer nous a mené a notre perte, désormais c’est fini les dés sont jeter mais patriote comme je suis-je mourrai pas sans combattre il en va de mon honneur de soldat …..’


Ps : ceci est une fiction, et une pensée à un peuple qui était jadis une victime et qui aujourd’hui est devenu un bourreau sanguinaire .

Tunisian Junkie


Le front en sueur la main qui tremble, je cherche une veine pour y injecter ce liquide magique. Veines inexistante alors je passe au plan B sous la langue le jus monte tout droit dans la tète et l’extase n’est que décupler.

Ma vie est faite de débauche et j’en ai aucunement honte : drogue, sexe and rock & roll voila mon quotidien je ne pense ni au présent ni au futur ma seule préoccupation qu’elle cocktail vais-je préparer pour demain du crack du GHB ou bien de la bonne vieille coc.

Depuis bien longtemps j’ai délaissé ce monde vide et sans aucun intérêt pour le mien ou on ne te juge point tu es libre de tes actes tu peux y même défier les lois de la nature puisque voler ni est plus une utopie. C’est un monde artificiel et éphémère mais dans ce cours laps de temps ou je m’y invite ce n’est que du bonheur, fini ces questions qui me taraude et qui me hante c’est presque un soulagement, une échappatoire que j’ai trouvé pour fuir le poids de la tradition et l’injustice sociale

J’ai choisi de détruire mon enveloppe charnel pour échapper a mes démons, vous me direz que c’est un choix lâche, je rétorquerais que je m’en fou pas mal, certes je suis désormais qu’un légume et l’ombre de moi-même mais j’ai trouvé dans les ténèbres mon nirvana et mon salut, lavez vous trouver vous ? Je n’en suis pas si sûr………….

Pour elle



Déesse de l’ombre Ange de l’enfer
Elle a fait veut d’allégeance au démon Lucifer
Mais détrompe toi mon cher
Ceci n’est que façade une chimère
A l’intérieur d’elle sommeil un doux agneau
Cultivé, juste et sincère

Elle a le sens de l’humour et de la rhétorique
Ainsi qu’une plume qui défie apollon et sa métaphysique
Je ne fais pas le poids bien que
Tout comme moi elle est enfant unique

Tout comme moi c’est une grande mélomane
Son amour pour le Rock a dépassé le statut de fan
Désormais je l’ai dans le cœur, dans l’âme

dimanche 11 janvier 2009

Garde a vous oh mon petit soldat !!!!


jeune jolie charmante et chiante a la fois
ce petit bout de femme fait notre joie
suave sensuelle sexuelle est sa voix
demoiselle du haut de mon panthéon je te dis
chapeau bas

Bien en chair en paix avec ses formes
Devant ce corp hors norme
Garde a vous oh mon petit soldat !!!!
Toi l'homme toi le male
Prend garde ce n'est point un ange loin de la
Langue de vipére j'en ai gouté de son venin
mais enfin de compte on l'aime rien que pour cela

Vie


VIE , 3 lettres qui me font cogiter chaque jour que Dieu fait en l'apparence ce n'est qu'un mot mais pour ma part j'en ai point pu lui trouver de définition . Étudier , travailler , se marier ? est-ce la vie ? et bien je la trouve bien triste , ai je le droit de choisir une autre destiner ? mais est-ce qu'il en existe une autre ? un quart de siècle va s'écouler de ma vie sans aucune réponse , pour le commun des mortels ce genre de questions ne se posent meme pas eux ils ont trouvé leur chemin ce meme chemin routinier et monotone que je refuse de suivre c pour cela qu'on me prend pour un allumé mais comme l'a dit Molière "Au diable lucifer pour cette galère"
Ad vitam eternam enclaver dans mes questions c cela ma destiner , ad vitam eternam prisonier dans un cercle vicieux merci la providence tu ma bien gâté j'aurais bien aimé vivre comme tous les autres qui ne cherchent rien seulement vivre comme leurs aïeux en quelque sorte pour eux la vie n'est qu'un simple bis repetita